A d'autres les ciels bleus ou les ciels tourmentés,
La neige des hivers, le parfum des étés.
Les monts où vous grimpez, fiertés aventurières
Des
Anglaises.
Mes yeux aiment mieux les clairièrea
Où la charcuterie a laissé ses papiers,
Les sentiers où l'on sent encor l'odeur des pieds
Des soldats avec leurs payses, la presqu'île
De
Gennevilliers, où croît l'asperge tranquille
Sous l'irrigation puante des égouts...
On ne dispute pas des couleurs ni des goûts.
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012