Silencieuse douceur de l’aube
Joie qui s’insinue au plus profond des os
Allo la vie c’est moi
J’étais dans l’oubli naturel du sommeil
Mes volets restent ouverts pour la nuit
Dès que tu frappes je m’éveille
Clarté juvénile annonçant l’éloquence du jour
Combien sommes-nous à te saluer ainsi
D’un soupir tendre
D’un sourire qui s’étire
Jusqu’au bout de nos bras qui se dénouent
Nos yeux s’embrasent de tes premières lueurs
Nos cœurs s’ébrouent
Et chantent
2013-10