Je ne me réveille que pour écrire. Le reste de la journée s’embrume, s’étire plus ou moins langoureusement. Et la danse me reprend, danses du sabre, flamencos brûlants, gaies tarentelles, sonates intimes, nocturnes. Le sommeil me gagne et je rumine toute la nuit quelques phrases pour demain.
2013-10