Rythme trépidant d’horloge pressée
Un cri que rien n’arrête
La nuit ravale ses étoiles
Poignée de notes cristallines
Ma petite salade authentique
Et ce cri qui déferle
Encore et encore
Là-bas des hommes
Petites loupiotes qui s’éteignent
Que vaut ma parole
Je suis dans la morte saison
Mes os frissonnent de silence
Je mêle mon cri
Aux souffrances du monde
2014-07
Au sujet de Marcel Faure
A Propos
Présent dans quelques revues, j'ai aussi publié un recueil "Petite fugue stéphanoise" aux éditions l'Harmattan.
Poème publié et mis à jour le: 12 April 2021