ciel que la nuit envahisse et où brillerait la lumière
sans cette alternance du jour et des ténèbres
qu'il n'y ait temps
qui nous brise et s'abîme
qu'en cette terre
il n'y ait âme qui souffre
pays qui meure
qu'en cette image que j'embrasse où deux yeux me regardent les lèvres ne tremblent comme un souvenir d'eau
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012