nos pas sur les dalles blanches de la ville aux fontaines taries
au loin le
Vésuve apaisé imprime un silence d'azur sur la toile ignée du jour
la mort n'est pas la mort si elle ne se découvre un visage
dans sa pose éternelle là où le vide de sa forme fut mis au jour un corps pétrifié se cabre
à ce vide œuvra le temps
de ce vide les vivants firent une forme pleine statue dérisoire et cruelle
et la mort
se découvrant un visage
est la mort
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012