«
Travaille ! ou le fouet commence. »
-
O labeur, tunnel immense,
A toi. ces poumons, ce cœur.
Et le fouet cingle, moqueur.
«
Espère, ou ton sang blanchit. »
-
Ah. bon monarque, merci.
Espoir est ma rage même.
Et mon sang devient tout blême.
«
Devine, ou je te dévore. »
El mes os exaspérés.
Mes os devinaient encore.
Mes os étaient dévorés.
Jamais repu, jamais sobre.
Jamais, jamais repenti.
De mon funèbre appétit.
Je mords au raisin d'octobre.
Poème publié et mis à jour le: 29 June 2019