Merci pour…
Ce poème d’Hugo, exilé loin de France,
La vérité d’alors n’était pas bonne à dire,
Vécu comme un outrage par les grands de l’empire,
Dont le pain quotidien n’était qu’intolérance,
La force du poète c’est de pouvoir nous dire,
Que jamais un bâillon ne pourra circonscrire,
Malgré tout les malheurs, les rêves d’espérance…
Au sujet de Langlet serge
A Propos
Né en 1949, après la guerre, dans une famille qui en a subi les affres, cet artiste peintre, poète, sculpteur, photographe d’art, épicurien, est avant tout humaniste au plus profond de son cœur, depuis sa plus tendre enfance il porte comme une croix cet esprit créatif et sensible, il exprime dans ses créations, dans ses tableaux ou dans ses poèmes tout ce qui le touche ou le bouleverse.
Il porte son regard sur notre humanité, en constatant que partout sur la planète règne les ferments de notre destruction, la violence sous toutes ses formes, le rejet de l'autre, les différences abyssales entre richesse et pauvreté, des mains qui secourent et d'autres qui frappent, mais aussi la nature qui subit de l'homme des dommages permanents, une extinction de nombreuses espèces de la faune et de la flore qui mettent en périls la vie sur notre terre.
" Je ne dit pourtant que des mots, mais ils ont le mérite d'être, l'indifférence n'est pas mon lot, quand j'ouvre au matin ma fenêtre. "
Poème publié et mis à jour le: 27 May 2018