Longues algues marines
Ramures des vagues
Pelouses bleu-azur
Où s'ébrouent des poissons
Nous rirons des fantasques sirènes
Qui s'éprennent d'un leurre
Qu'on appelle Apollon
Parfum chuchoté aux narines du vent
Les femmes les vraies
Récitent des poèmes et dénouent les chagrins
Qui ficellent les yeux des enfants
Longues plages sanguines
Soupirantes alanguies
Dans le couchant d'une île
Où s'échoue le soleil
2015-11
Au sujet de Marcel Faure
A Propos
Présent dans quelques revues, j'ai aussi publié un recueil "Petite fugue stéphanoise" aux éditions l'Harmattan.
Poème publié et mis à jour le: 23 April 2021