Poèmes

Les Journées d’Août

par René Chalupt

C’est vous qu’au Palais de Tauride,
Funeste privilège,
J’évoque par ce jour torride,
Princesse de collège.
 
J’oublie Ouvriers et Soldats
Pour vous, Iphigénie,
Et la fraîcheur de ce soda
Me paraît infinie.

Extrait de: 
Les Soirées de Pétrograde, (1920)



Poème publié et mis à jour le: 16 December 2022

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