Le doit et l'avoir
ne se lisent plus
dans le cristal fou des temples
Pour un instant seulement par-delà le gel des années inutiles une force nouvelle se hisse dans les yeux des officiants
instant d'alarme et de griffe
redoublement de grâce
au chevet de la grande forêt
où se perd le prix de chaque geste
L'horreur du lendemain suffit à soutenir le rêve.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012