le sort est une panthère chaude et l'instant où l'on est frôlé prend — dans la grande moquerie nocturne un goût d'orgie sarrasine
puis se fait la lumière
et l'on s'aperçoit que l'essentiel
c'est de bien conserver
les objets que l'on ne désire plus.
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012