Non, n'ouvre pas cette porte.
Ca donne sur l'océan...
Ca donne sur des cloportes...
Pas compris ?
Sur le néant !
Après ça. c'est difficile
D'aller vivoter,
Cécile,
C'est difficile,
Zaza.
De vivoter après ça.
Disons qu'on a des raisons
De froid, de vent, de tonnerre.
N'ouvre pas. disons, disons
Que c'est pour les courants d'air.
Au bonheur des maisonnées,
Il faut des portes fermées, -
Tralalire et troundelaire -D'ailleurs l'usine a sifflé.
Il est grand temps d'y aller.
Prends bien la porte ordinaire !
Poème publié et mis à jour le: 29 June 2019