Je ne sais pas ton nom
Mais je sais ton visage.
Il envahit mes yeux de ta belle jeunesse.
Et tes cheveux,
Tes cheveux qui mangent l'air du soir,
S'envolent,
Dénouant la tristesse des torpeurs de la fête.
Je ne saurai jamais ta vie, tes espoirs,
De mon mouchoir mouillé
Je te salue
2015-11