Passant, il ne s'est rien passé :
ne t'arrête pas.
Les stèles, les mausolées et les temples
célèbrent de tristes songes.
De mon corps sans vie est né un feu de joie.
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012
Passant, il ne s'est rien passé :
ne t'arrête pas.
Les stèles, les mausolées et les temples
célèbrent de tristes songes.
De mon corps sans vie est né un feu de joie.
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