Poèmes

Épitaphe

par André Velter

Passant, il ne s'est rien passé :

ne t'arrête pas.

Les stèles, les mausolées et les temples

célèbrent de tristes songes.

De mon corps sans vie est né un feu de joie.



Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012

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