l'œuvre offerte porte ce titre suivi d'une date
jeune encore est la nuit
et l'ombre de toi-même allaite les étoiles
certains confondent visage et grimace d'autres ont le regard qui tue je préfère ceux dont le regard donne vie dis-tu
nous avons nos instants de grande liberté
une lampe s'est allumée au pied de la statue sans visage ce qui reste du cèdre a accueilli nos vœux
nous avons force d'espoir
en nous est un pays immuable
toi qui enfantes la lumière
il te faut tuer l'ombre ravisseuse de lumière
seule pourrait t'atteindre la flèche empennée de tes propres plumes
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012