Poèmes

Du Temps Serré Du Capital: Distance Vue

par Alain Minod

Ce mouvement frénétique en Paris excentré
Allume électrique Capital bien serré
Avalant travailleurs en leur temps qu'il accule
A plus aucun ailleurs –et leurs nerfs tend bouscule

Sous ciel gris monotone aucune variation
Ce ronflement atone peut casser l'attention...
Pour demain à venir un grand humain se cherche
Retrouvant son plaisir –c'est ici qu'il se perche

Il crée ici soleil pour gamins et sa clef
Qu'il offre sans pareil pour écoute qui plaît
Aux enfants sans souci ouvre à toutes les joies
Où l'humain qui sourit trouve une jolie loi

Jeunesse à côté rêve encore contre trafic
Partage qui lève leurs sens et la musique
Avides de savoir ils veulent que s'innovent
En vie sans le pouvoir science et amour qui sauvent

Grand trafic prend la rue pourtant il n'a pas bu
Qui n'entend son raffut et vit belle présence
Ouvertes sont ses ailes en une vraie distance
Sans-même qu'un appel lui soit lancé : imbu

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