naquirent ces temples d'or
larges colonnes rondes supportant les nuages
ciel et terre unis pour l'éternité
dans la plainte du vent le battement d'une aile les rayons purs de la lumière les dieux sont présents
le cri inconnu d'un oiseau annonce les événements cachés
une vie ne suffit pas à qui est étreint par le feu des oracles
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012