Dormeuse en cet après-midi tranquille
Tes paupières murmurent un vol d’hirondelles
Silence parfumé du genêt des collines
L’ombre s’est arrêtée à l’orée de tes hanches
J’aimerais dans ton rêve
Glisser quelques pervenches
Je vole un baiser à ta lèvre gourmande
Tu tressailles
À l’évidence offerte tu convoques l’amour
Tu gémis
Est-ce moi que tu serres en tes bras alanguis
Tu me hantes
Dans ton rêve
Glisser aussi mes mains
Sous le voile léger qui recouvre tes seins
2016-06
Au sujet de Marcel Faure
A Propos
Présent dans quelques revues, j'ai aussi publié un recueil "Petite fugue stéphanoise" aux éditions l'Harmattan.
Poème publié et mis à jour le: 26 April 2021