Dévider sans fil la même fin sans fin
Enfreindre ses félinins
Orphelin, faux ainé des ossiens
Sourvirer celle qui choisit de partir
Rêver sans cesser d’en provenir
Revivez sans film la même série sans suite
Ouvrir son ancien félinien
Isolé, privé de fausses tours
Débouler et choisir de maudire
Sans cesser d’apporter son retour
Dévisser sans succès la même vis sans fin
Ouvrir les enceintes des faux seins batraciens
Seul, dans un monde sans crainte
Amère celle qui vous veut du bien
Partir sans cesser d’advenir
Carrer la jarre tournebroche
Sauter du cercueil comme un crapio décroche
Chanter et danser comme un miraculé
Elle peine c’est ainsi
On n’y peut rien changé
Défiler sans fin le même film sans fin
Ouvrir enfin ses féminins
Orphelin, faux ainé du matin
Aimer celle qui choisit l’avenir
Sans cesser de vouloir reverdir.