J'accepte donc cet usage après la lutte : Si, vainqueur, tu le cèdes en dignité à ton vaincu, présente-lui la coupe honorifique (afin de marquer ta victoire
décemment).
Vienne alors la bataille et le coup et le geste après le coup : je promets d'être cérémonieux.
Mais, emplissant la corne de vin tiède, -- comme il boira, -- je verserai, dans le puits sans fond de mon âme,
Tous tes flots doux d'un rire décemment cérémonieux.
Poème publié et mis à jour le: 16 November 2012