«Théière »
Éva, princesse ou métayère
Allumeuse du divin feu
En y posant cette théière
Saura le modérer un peu.
*
«Verre d'eau »
A
M"
Méry
Laurent
Ta lèvre contre le cristal
Gorgée à gorgée y compose
Le souvenir pourpre et vital
De la mois éphémère rose.
.
*
Dons de mouchoirs
Acclamez d'un petit bruit d'aile
Son nez qui jamais ne prisa,
Mouchoirs, sans cacher le fidèle
Sourire de notre Élisa.
Si vous faites naufrage, Élisa, tout nous sert,
Agitez ces mouchoirs sur un îlot désert.
*
Celle ici qui ne prisa
Que l'amitié simple et franche
Veut pour son nez
Élisa
Une pure toile blanche.
.
*
Lisa
que votre nez répète
Le salut dans chaque mouchoir
D'une impartiale trompette À l'an qui se lève ou va choir.
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Quoique à ses pieds une sultane
Ensemble n'en voie autant choir
Lisa, recevez de
Stéphane
Mallarmé maint et maint mouchoir.
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Livres aux
Etrennes
A
Julie
Ce poëme devenu prose,
Comme tout se passe à l'envers !
Moi qui devrais pour chaque rose
Ne vous envoyer que des vers.
.
A la même
Ici même l'humble greffier
Atteste la mélancolie
Qui le prend d'orthographier
Julie autrement que
Jolie.
.
A la même
Julie ou
Bibi du
Mesnil
Rêvant à l'endroit nommé deux
Ne méprisez ni le nez ni '
Hommage ému de vieux messieurs.
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L'an s'en va quoique
Whisder nie
Ou par
Vous on sache oublier
Sourire
grâce
autre génie
De renverser le sablier.
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Poème publié et mis à jour le: 16 November 2012