Qu'un jeune amour plein de mystère
Pardonne à la vieille amitié
D'avoir troublé son sanctuaire.
D'une belle âme qui m'est chère
Si j'ai jamais eu la moitié,
Je vous la lègue tout entière.
Extrait de:
Poésies posthumes (1888) Poème publié et mis à jour le: 13 novembre 2012