Ta conscience est ton ultime refuge
Mais ton corps se refuse à demander asile
Il y a conflit d’intérêts
Pourtant le désert te guette
Seras-tu ton propre tombeau
Et c’est la faute à qui
La faute à qui
Il te faut un coupable
Hein, la faute à qui
Au soleil peut-être
2016-05
Au sujet de Marcel Faure
A Propos
Présent dans quelques revues, j'ai aussi publié un recueil "Petite fugue stéphanoise" aux éditions l'Harmattan.
Poème publié et mis à jour le: 26 April 2021