Un cavalier va dans la plaine
La jeune fille pense à lui
Et cette flotte à
Mytilène
Le fil de fer est là qui luit
Comme ils cueillaient la rose ardente
Leurs yeux tout à coup ont fleuri
Mais quel soleil la bouche errante
A qui la bouche avait souri
Poème publié et mis à jour le: 14 novembre 2012