Courage de se livrer au hasard graphique par ces temps nauséeux.
La plante boit d'autant plus qu'elle est plus éclairée disait
Anacréon.
Une bouche-à-feu n'est pas une bouche inutile.
Hâtons-nous de voir le monde tant qu'il est encore entier.
Qu'on me coupe le cou,
Messieurs, j'aime autant ça.
Il y a le don des larmes, le don d'enfance et le don de l'inconscience comique,
car tel plaisante autrui se dépeint lui-même.
Croyez-en un vieux méhariste.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012