Vois-tu devant tes yeux ces mille et une scènes
Qui chacune à dessein surgissent du passé
Ecarte le voile qui très souvent te gêne
Pour cela il convient d'avoir la panacée
Le remède à l'oubli d'une vie plus lointaine
Et pourtant si proche puisqu'intériorisée
Est-ce dû à la joie ou bien à trop de peine
Le rire et les larmes y sont entremêlés
Puis lève le rideau, c'est une autre lumière
Du présent au passé l'éclairage a changé
Y verras-tu plus clair, je sais que tu l'espères
N'oublie pas la scène, l'oubli est un danger
Au sujet de Rapiteau Claude
A Propos
Liberté de nos pas - Edition Jean Grassin - 1963
Poème publié et mis à jour le: 07 April 2025