Moi, si j'avais vingt fils, ils auraient vingt chevaux
Et fuiraient au galop le
Pédant et l'École,
Infâmes pour lesquels cette gueuse racole
En ce pays conquis tous les petits cerveaux.
La
Truande ! qui veut pour ses sales travaux.
Blasphème, puis péché, séduire, comme on vole,
L'enfant, le mien, le vôtre, ô la sinistre folle !
L'enfant, tout votre orgueil et tout " ce que je vaux !
Et si j'avais cent fils, ils auraient cent chevaux
Pour vite déserter le
Sergent et l'Armée
Que ces brigands nous ont créée, et ces drapeaux.
Les faquins ! qui mettraient la
France, notre aimée.
Aux mains du plus offrant, après en avoir fait
La chose impure, faible et sale que l'on sait*.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012