La romance ne s'achève pas
elle s'éternise, chantée en écho,
par une mer d'une lointaine époque Edo.
Tes yeux fermés,
une saga entière racontée.
Ecoute ses rivages s'étendre en appât
jusque dans tes cheveux,
bientôt dans tes vœux.
Jusque dans cette goutte d'eau
qui orne ton col,
sitôt dans tes hyperboles.
Non aux bruyants propos,
respires-tu le calme des moments fiévreux ?
ou l'approche lente des adieux ?
Princesse sans vacarme
qui ne partage pas ses drames,
Demeure là, dans ton mur parfait,
ne livre point tes secrets.
Princesse sans vacarme
par Ameyi Essi