Piano démêlant ses notes
Rues pavées en noir et blanc
Les gares ne sont plus que des îles
Où s'égarent des futurs
Délice des premiers accords
Les baisers rougissent les yeux
Les quais comme des docks
Trains cales ouvertes
Plaquant sa mélodie baroque
Une main signe de cristal
Que brise le départ
Et le destin s'enraille
La peau nue du clavier se couvre
D'un linge de nuit maniaque
Fini les chants fini l'amour
Tous partis en villégiature
Et nous laissent dans la froidure
La vie se vit comme une arnaque
Veines glacées d'un sang trop lourd
Les gares ne sont plus que des îles
Rues pavées en noir et blanc
Les gares ne sont plus que des îles
Où s'égarent des futurs
Délice des premiers accords
Les baisers rougissent les yeux
Les quais comme des docks
Trains cales ouvertes
Plaquant sa mélodie baroque
Une main signe de cristal
Que brise le départ
Et le destin s'enraille
La peau nue du clavier se couvre
D'un linge de nuit maniaque
Fini les chants fini l'amour
Tous partis en villégiature
Et nous laissent dans la froidure
La vie se vit comme une arnaque
Veines glacées d'un sang trop lourd
Les gares ne sont plus que des îles
2013-06
Au sujet de Marcel Faure
A Propos
Présent dans quelques revues, j'ai aussi publié un recueil "Petite fugue stéphanoise" aux éditions l'Harmattan.
Poème publié et mis à jour le: 04 April 2021