Poèmes

Péripéties

par Paul Neuhuys

C'est l'été, le soleil redore nos petits castels en
Castille et tu fais tourner ton ombrelle sur le rire mouillé des fraises

On arrose le gazon car le paon est un incendie
Midi est chaud comme une larme sur les joues de la terre en fleurs

La carpe et le bengali n'habitent pas le même empire mais pourtant le ciel les unit quand l'arbre dans l'étang se mire



Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012

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