Poèmes

Pauvres hommes griffonnés à la hâte,

par Marcel Faure

Pauvres hommes griffonnés à la hâte,
nous fraternisons avec la plume
pour enluminer notre ébauche.
Alors je le dis :
à la force du cerveau,
quelques-uns d'entre nous sont devenus beaux.

2014-04

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