Autant qu'on trouve un soir en quelque part
S'y retrouvant, s'y tard qu'on s'y retrouve
Point quelque part pour en faire l'apart
De nonobstance entre des yeux de louve.
Sont-ce du vôtre ou du feu qui s'amène
Le pur vertige à deux côtés des cartes
Un soir des soirs gardant les mêmes mitres
Autant que peu dans ma ronde s'y prenne !
Pour ostensoir d'animales odeurs
Rien réfléchies sous leurs fins de lumière
Baignons-en les, l'une et l'autre servile.
Là restons-en à fixer deux aisances
Pris pour leur point d'Amours inaccessibles
S'en finissant dans tout ce qui commence.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012