Agrippés par les ronces de la nuit
Les brasiers du soleil
S'engloutissent
Au fond de grottes éteintes
Le jour se débat encore
Dans nos mémoires
Avant de sombrer
Dans l'antre
Enchevêtré d'images
Qui double obstinément
Nos vies.
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012