Moustiques
Providence des oiseaux
Sitôt nés sitôt mangés
Ailes invisibles des poissons
Qui se surprennent à voler
Sauvés par le nombre
Et par mon bras appétissant
Ils survivent
Il ne faut pas désespérer
Nous serons bientôt aussi nombreux
Et si la mort nous prend
Par vieillesse ou par bêtise
C'est la part nécessaire
Aux vers et aux oiseaux
2017-05
Au sujet de Marcel Faure
A Propos
Présent dans quelques revues, j'ai aussi publié un recueil "Petite fugue stéphanoise" aux éditions l'Harmattan.
Poème publié et mis à jour le: 30 April 2021