Si je devais un jour, partir
A jamais, banni de ton cœur,
le restant de mes jours souffrir
Chaque fois que je verrais une fleur.
A travers elle ,c’est toi que je verrais
me rappelant les heureux souvenirs
lors plein d’amertume, le cœur blessé
Je regretterais ton si beau sourire.
Même si Mignonne, tu ne regrettes rien
de tes beaux yeux, je me souviendrais
leur magie, un baume au cœur qui fait du bien
un si doux remède pour me consoler.
Les jours pour toi, heureuse, seront si courts
lors éprouvantes et longues seront mes nuits
et la vie entière, je te pleurerai amour
mon pauvre cœur, sûr, finira sans vie .
Au sujet de Belhamissi Sadek
A Propos
né le 19 avril 1955 en Algérie à Mostaganem ancien normalien ancien directeur de collège d'enseignement secondaire ancien étudiant de la fac de sciences de Jussieu Paris V. De formation essentiellement française, tout jeune je me suis intéressé à la poésie, romantique et rêveur né dans les génes, influencé par le père un passionné de la culture française notamment le théâtre et la poésie. Influencé par les grands poètes français Lamartine, Rimbaud, Ronsard, Hugo, Prevert et de nombreux autres, nombre de mes poèmes trouvent naturellement leur inspiration chez la femme à qui j'ai consacré une cinquantaine de citations sur 200 l'accompagnant dans son combat qui ne fait que commencer contrairement à ce qui est prétendu (de toutes les inégalités sur cette terre, la plus remarquable est l'injustice trop souvent infligée par l'homme à la femme et ce depuis la nuit des temps). Intéressé par le devenir de l'humanité je me suis trouvé également une vocation de journaliste en publiant quotidiennement durant de longues années des articles sur l'ex Post.fr propriété du monde et des billets réguliers sur le point.fr ainsi que la Tribune de Genève. Pacifiste, épris de liberté, de justice et de tolérance, les peuples du monde étant tous bons par essence.
Poème publié et mis à jour le: 12 July 2017