À M. et Mme Louis Fréchette.
Le poète,
À la grâce comme au talent,
Souhaite
Un long cycle de jours de l'an.
Le ciel veuille
Que nul âpre souffle inhumain
N'effeuille
Les fleurs qui sèment leur chemin.
Que la lyre
Toujours unisse au clair accord
Du rire
Le rythme des sept cordes d'or.
Extrait de:
Les floraisons matutinales (1897) Poème publié et mis à jour le: 13 July 2017