J'achève ici-bas ma route.
C'était un vrai casse-cou.
J'y vis clair, je n'y vis goutte ;
J'y fus sage, j'y fus fou.
Pas à pas j'arrive au trou
Que n'échappent fou ni sage,
Pour aller je ne sais où.
Adieu,
Piron, bon voyage !
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012