Ma ville a des chemins serrés comme des herbes
S'écoulant le long d'elle et recouvrant son corps.
Tous également purs, également superbes,
Ces fleuves bigarrés n'ont pas besoin de ports.
Chaque jour, je le crois, contient une marée
Qui grandit et m'enlève, ô lampe, à vos lueurs.
Poème publié et mis à jour le: 16 November 2012