La joie jaillissait au bord des âmes,
Dans le lèvre ainsi de tout un chacun.
Et cette mère digne d'être femme,
Ce jour-là, elle m'appela: «mon destin!»
Elle me souriait en ce temps même;
Quand elle me tenait ce fut un courant.
Cette sensation sans mot '' je t'aime'',
Était un pouvoir celui lié par son sang.
Je sentais un moment une âme,
Au plus profond de moi qui pleurait.
Elle était toute dans sa flamme,
Une triste- joie que Dieu enterrerait...
Elle me tenait et me serrait contre elle,
Si jamais la nuit ne tombait bien avant;
Elle m'offrait une autre nuit plus belle,
D'où le rayonnement était son chant.
Elle me chantait; la joie dans ces lèvres,
Son sourire comme éclair. Mes yeux
Étincelant, mon corps etait sans fièvres.
Et quand je me sentais fin, tous deux !
Mes côtés étaient toujours sa demeure ,
Et mon regard en elle n'était pardonné.
On se regardait, je me disais : ma mère,
Oh! c'est rien donc que d'elle je suis né.
Au sujet de NDUKA MATA
A Propos
Il se nomme Plumesiz! De son vrai nom, Tayson-Pierre Nduka Mata! Un jeune écrivain-poète et slammeur né Kongo! Né un certain 05 août 2002 à lemfu dans le kongo central en République Démocratique du Congo, dans l'Union de Sabra-Antoine Mata et Christianne Makengo ! Il est issu d'une fratrie de six dont quatre garçons et deux filles...
Dès le bas-âge, il admira et se lança à l'écriture et à la poésie déclamer à son école Saint Louis et au Petit Séminaire Saint Jean Berchmans de Lemfu où il fut formé et s'instruit en littéraire et écrit beaucoup de textes et bien de poèmes. Et aussi un travailleur et reconnaissant qui aurait bien voulu servir sa patrie à l'exemple et sur le sillage de Laurent désiré KABILA :dans la bonne gouvernance et surtout dans ''LE TRAVAIL'' tel est le titre inoubliable de son poème où il démontre, l'homme ne peut être heureux et satisfaire surtout ces besoins que d'abord par son propre travail...
Poème publié et mis à jour le: 23 April 2024