Déchiré par les orages de l’amour
et ressoudé par les accalmies
de l’amour
me voilà allongé dans un port
qui ne sait pas
où ton corps se termine
où mon corps commence
Des poissons nagent entre nos côtes
et des mouettes crient comme des miroirs
après notre sang
Poème publié et mis à jour le: 22 November 2022