La mort, c’est sortir d’une porte
Quasi patibulaire qui n’existe pas.
C’est quitter la vie avec ses faux pas,
Pour atterrir sur une piste morte.
La mort, c’est entrer dans une porte
Invisible qui n’a ni clés, ni gonds.
C’est se trouver dans le néant, au fond
Sibyllin de l’abîme ancré dans une forêt morte.
C’est sortir ou tomber subrepticement,
Dans la falaise, où personne ne sort pas.
C’est se glisser, comme un serpent vers le trépas.
C’est voyager, vers une direction,où personne n’y retourne.
C’est la flèche qui ne régresse pas, c’est la terre qui tour
Comme une boussole, dans le sens dextrogyre du vent.
Au sujet de Logerie Hebert
A Propos
Né le 2 octobre en Haïti. Il a immigré aux États-Unis d’Amérique à l’âge de quinze ans. Il est ancien élève Des Frères de l’École Saint Joseph, Anse d’Hainault, Des Cours Privés de Roger Anglade, Port-au-Prince, Haïti, de Montclair High School, Montclair, New Jersey, de l’université de Rutgers à New Jersey, où il a reçu deux diplômes : l’un en comptabilité et l’autre en littérature française.
Il a deux enfants et une petite fille qu’il aime beaucoup, et sa femme, et les fleurs qu’il adore plus que les quatre saisons.
Il aime beaucoup la poésie et est influencé par son père qui aimait réciter les poèmes d’hier et d’aujourd’hui, et chanter les plus belles chansons françaises de son époque.
Hébert Logerie a publié quatre recueils de poèmes : Étincelles de l’Amour, Sparkles of Love, Mounts and Valleys of love, et Monts et Vallées de l’Amour. Il est prêt pour publier plusieurs autres recueils : Les Poèmes de Mignonne et Echo of Our Ancestors’ Screams.
Il écrit en plusieurs langues pour la paix, l’humanité, l’amour, l’union, la justice, la transparence, les plus démunis, la fraternité et la liberté.
Poème publié et mis à jour le: 03 January 2021