Les vauriens se sont adonnés à leurs réjouissances
avant que l'aube ne pointe
Dans cette nuit sans lune
je ne vois qu'une petite étoile
qui s'éloigne, s'éloigne
et disparaît derrière les ténèbres
Comment marcherais-je sans souliers
et sans le secours d'une canne ?
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012