Je ne sais pourquoi, j'avais Cythère en tête. Je suis allé relire le poème de Verlaine. Ma mémoire est "un pavillon à claires-voies" où s'engouffrent les vents. Toutes ces senteurs qui montent de Poémie "abritent doucement mes joies" qui "communiquent une exquise fièvre" et les mots de l'esprit qui me sont tout "hormis la faim, sorbets et confitures" me reposent le corps et "me préservent des courbatures"
Je ne sais pourquoi ...
par Marcel Faure