À Grenade
mon aimée
nous étions silencieux
nous marchions dans nos rêves
nous caressions la fourrure de plénitude
À Grenade
tu étais plus douce encore
tu étais plus étonnante encore
À Grenade
mon aimée
tu es encore
plus inoubliable
Poème publié et mis à jour le: 13 November 2012