Le gazon nourri des vertes banlieues,
Ma forêt d'amour aux chemins vernis,
Sont tout pénétrés d'une pâte bleue
- D'un azur solide où planter des nids.
Fuyons les pays que leur gloire encombre
(Quel désert superbe on ferait ici)
Nous irons au bois fouler le décombre
De tout ce laurier cher à mes amis
Poème publié et mis à jour le: 16 November 2012