Si rien n'est jamais gain rien non plus n'est jamais perdition toi le plus lourd le plus grossier et le peu intelligent
celui dont la langue s'entortille bafouille le plus maladroit le moins à l'aise toi le perdant des causes visibles "les premiers sont les derniers" la bête offerte en sacrifice si ton
fumet plaît aux narines de l'Esprit ainsi soit-il
Poème publié et mis à jour le: 14 November 2012