Comment ne pas tressaillir ?
La mort,si cruelle,dévalisa un être
Charmant de son aura,et en devint maître
Comment ne pas en frémir ?
Que me reste-t-il de ma bien-aimée ?
Qu'une pâle statue de chair inerte
Privée de l'amour qui causa sa perte ?
Tant voulu qu'elle revienne m'embrasser
Une fois encore avant l'exil éternel
Juste un dernier bécot sensationnel
Hélas ! Mort n'a pas ce coeur !
Ravir,elle le fait sans peur !
Hélas ! Ma vie demeurera dans l'amertume
Un seul départ,et s'installe un désert posthume
Extrait de:
La Plume au service du Coeur