Sur cette splendide falaise – s’opposant en silence –
Oh hé ! Encoche ! Oh hé !
Connais-tu l’éboulement,
Où nulle agonie ne rugit –
Où la coulée s’est calmée ?
Dans le pauvre paysage ivre.
Il en est de nombreux – pans tourmentés –
Gouffre bien arrimés,
C’est là que je t’emmène –
Sol ! Oh hé l’Éternité !
Sur les roches, enfin !
Debove O