Ci-dessous repose le cœur
De l'épouse d'un procureur.
Ce cœur, le meilleur que l'on voie.
Du mal de son prochain fut toujours attendri,
Et ce qu'à ses clients escroquait le mari,
La femme le rendait en une autre monnaie.
Poème publié et mis à jour le: 15 November 2012